votre tenue ⌁ Il a peur un moment. Des frissons traversent son corps, mais ceux provoqués par l’amour qui le transcende sont bien trop forts pour qu’il fasse marche arrière. Il craint même que Max n’accepte pas sa déclaration, ce qui serait bien illogique, et se perd sur sa peau pour tenter d’éviter de se faire du mal pour rien. Il anesthésie son esprit et se laisse porter par les mouvements de son coeur, par ses lèvres qui n’ont jamais assez de sa peau douce. Son nom prononcé de ses lèvres envoie de l’électricité dans son bas ventre, lui donne un sentiment d’intimité plus fort que jamais. Elle le dit si peu souvent. Il adore ses oppa, mais le fait d’entendre son prénom lui fait un tout autre effet. Il la sent trembler et se stoppe un moment, de peur qu’elle ne se mette à pleurer. A-t-il fait quelque chose de mal ? La nausée vient le prendre, et il essaie de remonter, voir ce qu’il a mal dit, voir ce qu’il a mal fait, se prépare à s’excuser mille fois, de peur qu’elle ne veuille lui échapper entre les doigts. Sa gorge se resserre. Pourtant elle l’embrasse, il sent ses lèvres se presser contre sa jugulaire, et ses mots finissent par le rassurer. Ils ont échangé leurs places, et un léger sourire vient se poser sur ses lèvres. Le soulagement vient prendre part de tout son être. Ce n’est que lorsqu’elle vient l’embrasser à nouveau qu’il vient le murmurer contre ses lèvres “Je t’aime”, une fois, deux fois, trois fois, et à chaque fois qu’elle lui laisse le temps de reprendre sa respiration. Et il l’aime. Tellement. Le fait le prend à la gorge, au ventre, envoie de l’électricité jusqu’au bout de ses doigts de pied. Il n’en doute absolument pas. Il n’a jamais été sûr de quelque chose dans sa vie, aussi bizarre que ça lui paraisse. Il n’y a juste aucune question à poser. C’est comme ça.

Il entend à peine ses mots lorsqu’elle parle à nouveau. Il veut reprendre ses lèvres, c’est tout, et vient un peu plus contre elle comme un enfant à qui on a arraché trop vite sa friandise. Il finit quand même par activer son cerveau et tenter d’y retrouver les mots qu’elle vient de prononcer. Lorsque les mots se déroulent à nouveau dans son esprit, il ne sait pas quoi y répondre. Elle le surprend à nouveau. Il n’y a pas de question sur ce qu’il a envie de répondre : un oui fiévreux. Il craint un instant qu’elle ne lui demande ça par peur de quelque chose, ou parce qu’elle s’y sent obligée après qu’il lui ait dit qu’elle l’aimait. Lorsqu’elle se recule, il vient rencontrer son regard et n’y voit que de l’envie. Il veut faire attention et à la fois ne pas se poser de questions. Il retient sa respiration face à sa paume chaude qui vient se coller contre sa joue. Il s’accroche à ses mots. Son coeur rate quelques battements. Il sait combien c’est important, et il hésite, il ne sait pas s’il a le droit, se retrouve figé dans le temps un instant. Au lieu de parler, parce qu’il n’a aucuns mots, il vient butiner doucement ses lèvres tout en venant passer un de ses bras sous ses cuisses. L’autre, dans son dos, la soutient alors qu’il descend de la table et la porte contre lui. Il vient embrasser le sommet de son crâne, ses cheveux en marchant jusqu’à sa chambre, dont la porte est toujours grand ouverte. Pour que ce moment ne soit qu’à eux, même s’il n’y a personne d’autre dans l’appartement, il referme la porte derrière eux de sa jambe, avant de venir poser Max sur le lit. Il en est presque perdu, à ne pas savoir quoi faire, alors qu’il a effectué ces gestes cent fois auparavant. Ce n’est pas pareil, et il n’a jamais autant craint de mal faire qu’à ce moment présent.

Il vient finalement au dessus d’elle pour venir l’embrasser. Il sent tous ses membres se tendre sous l’excitation, dans l’étreinte qui de douce plus tôt est passée à un niveau de passion inégalé. Il prend son temps pourtant, malgré l’envie qui le dévore. Une de ses mains caresse sa taille, l’autre vient caresser sa joue. Il vient finalement chercher sa langue de la sienne, expire contre elle et laisse son corps se presser un peu plus contre Max. Il n’enlève pas lui même son pantalon: elle le déshabillera lorsqu’elle sera prête, il ne veut pas se hâter à la tâche. Lui par contre vient passer une main derrière son dos pour détacher sa dentelle, qu’il vient rapidement envoyer à l’autre côté de la pièce. Ce n’est pas la première fois. Et il espère que cette fois là, un gargouillement de ventre ne viendra pas les stopper. Un instant, il se dit qu’ils auraient peut-être dû manger avant, pour que l’aventure ne se répète pas. Junho vient embrasser sa poitrine avec envie, celle dont il a rêvé toutes les nuits depuis la dernière fois, celle qui n’est qu’à lui et dont le goût est exquis. Sa langue vient caresser son bouton de chair, érigé sous l’excitation, et il vient le mordre doucement en laissant une main pincer légèrement l’autre, abandonné par son visage. Il soupire contre sa peau chaude et de sa main libre, vient caresser sa cuisse avec envie. Il crève d’envie de l’entendre gémir, rien que pour lui, dans l’espoir qu’elle n’offre ce doux son à aucun autre.

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votre tenue ⌁ La façon dont il le répète entre chaque baiser la met dans un pur et merveilleux état de frénésie. Max perd pied. Max s’abandonne et perd la raison. Seuls l’amour et l’envie dominent ses pensées de colombe sur le point de prendre son véritable envol. Elle le désire. Cet homme qu’elle aime et qui l’aime en retour, elle le veut. Tout entier. Tout contre elle. Elle veut qu’il la dévore d’amour, elle veut se nourrir de lui sans jamais être rassasiée. Une faim éternelle, pour toute la vie. A cet instant, la belle est plus sûre que tout. Jamais une décision n’a été plus certaine que celle-ci. C’est comme une évidence, une sublime fatalité qui noie son cœur du plus beau de tous les sentiments. Alors, elle le lui fait comprendre. Elle le lui dit. « Je suis prête. » Sa voix perd son souffle en l’avouant simplement. Je suis prête à me donner à toi. Je suis prête à tout te donner de moi. Parce que je t’aime, et que tu es la personne la plus chère à mon cœur. Je veux que tu prennes chaque parcelle de ma peau et de mon cœur. Chaque partie de mon âme et de mon être. Je veux te sentir. Je veux te sentir vivre en moi. Ce besoin de s’unir, de fusionner avec lui au maximum... il est presque vital. La peur n’existe pas. Elle le sait, tout se passera bien. Parce qu’ils se font confiance et qu’ils s’aiment. Tout ne peut qu’aller. Ouvrant faiblement ses prunelles tout en répondant à ses doux pressements de lèvres, Max lui envoie toute la douceur du monde à travers son regard. Junho n’a pas besoin de parler. Elle devine que ce désir qui la prend aux tripes est amoureusement, furieusement et désespérément réciproque. Il avait patienté longtemps, n’est ce pas ? Rien que pour elle. Rien que pour partager ce moment à ses cotés. Il était temps qu’elle le remercie pour ça. Il était temps qu’elle lui montre à quel point son amour pour lui n’avait pas de limites.

C’est avec une belle docilité qu’elle le laisse la soulever et la porter dans ses bras. Lovée contre son buste, Max s’accroche tendrement à son cou et ferme un instant les yeux. Des yeux qu'elle ouvre seulement lorsque Junho l’allonge délicatement sur le lit tandis que son cœur s’affole. Un soupir de satisfaction s’échappe de ses lèvres tremblantes que le beau brun embrasse aussitôt, alors qu’elle sent son poids et son parfum se couvrir sur elle. Ses petites mains câlinent ensuite son visage, ses cheveux… pendant que son corps frêle savoure chaque caresse qu'il lui offre sans limite. Elle lui donne sans hésitation sa langue - si avide de la sienne - puis souffle chaudement contre sa bouche tout en valsant avec l'ainé dans une danse d’une passion acharnée. Bien vite, leurs respirations se font plus fortes et plus soutenues. C’est avec un délicat rose sur les joues que Max laisse son amour détacher la dentelle qui couvre encore sa poitrine rongée par l’envie d’être goutée à nouveau. Et lorsque Junho s’attelle à la tache, sa douce voix ne peut retenir un gémissement, tandis qu’elle retrouve avec délice les merveilleuses sensations de la dernière fois. Dieu que c'est bon. Encore plus que dans ses souvenirs. La langue du brun qui passe sur son bouton de chair, ses dents joueuses qui l’agrippent avec tendresse, son autre main qui s’occupe du ravissant orphelin à coté afin de ne pas le laisser pour compte… Toutes ces actions font perdre la tête à la plus jeune qui commence à arquer son dos pour en avoir plus. Pendant qu’il la torture agréablement, ses mains n’ont pas cessés leurs caresses dans la chevelure courte et à présent désordonnée de Junho. Elle relève son visage, colle ses lèvres contre le haut de son crâne, hume son odeur et sent la chaleur l’emporter encore plus loin.

Sans prévenir, la poupée décide de mettre en pause ces délices afin que, elle aussi, puisse faire du bien à son bien aimé. Elle se relève brusquement et inverse les rôles, chevauche son bassin pour venir tendrement le dominer un instant. Ses mains plaquées de part et d’autre de son beau visage, Max plante un regard brulant dans celui de Junho. Ses lèvres se jettent sur les siennes et elle les goute sans se priver, lui faisant ressentir cette fièvre intensément merveilleuse qu’elle subit par sa faute. Bien vite, sa bouche descend. Elle va embrasser sa mâchoire, s’échouer dans son cou, agripper tendrement sa peau avec ses canines comme il lui a si bien appris. Et puis, pour la toute première fois, a belle descend plus bas tout en décalant son propre corps sur le coté afin de faciliter son parcours. Sa langue vient aussi timidement qu’avidement gouter son torse avec un délice indescriptible. Elle presse ardemment ses lippes ainsi que ses dents contre ses pectoraux, le couvre de baisers sucrés, s’arrête à la dangereuse limite de son bas ventre et… relevant son beau visage, elle s’ose à regarder son homme dans les yeux. Un faible sourire vient sublimer ses traits. Comme pour le frustrer un peu, elle fait remonter le bout de sa langue sans prévenir du bas de son torse jusqu’au haut et va sournoisement terminer sa course dans son cou pour le marquer. En même temps, ses mains ont finies par bouger. L’une d’elle caresse la joue de Junho tandis que l’autre s’attèle à venir déboutonner son pantalon encore honteusement gardé. Merci de ne pas avoir mis de ceinture cette fois-ci.

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votre tenue ⌁ Il se perd sur sa peau, d’une envie de fondre en elle qui se fait pressante. Il le goûte, son parfum sucré, sa peau brûlante, et s’en trouve à n’avoir jamais autant apprécié étreindre quelqu’un de cette façon. Il sent ses doigts de perdre dans ses cheveux, ses lèvres se poser fébrilement contre le haut de son crâne, et il ne peut que soupirer en réaction des sons qui lui échappent. Délicieusement érotiques, ses gémissements contractent son bas ventre par accoup, et il craint de ne pas résister longtemps aux bruits si charmants qu’elle est capable de produire. Alors que Junho est tout entier dédié à sa tâche et pourrait s’y perdre des heures, il se retrouve surpris par une Max qui inverse leurs positions. Il écarquille légèrement les yeux de surprise, vient la regarder, avec une légère frustration qui vient se montrer d’être à nouveau privé de tout contrôle. C’est aussi excitant qu’énervant, et il fronce les sourcils dans une moue boudeuse de se trouver tout à coup surmonté. Le fait de voir Max le surplomber est pourtant en tous points excitant, sentir son bassin posé contre le sien un peu plus. Il a à peine le temps de l’admirer qu’elle se jette sur ses lèvres, et c’est presque pris de court qu’il doit la réceptionner et répondre à ses baisers. Il reprend finalement sa respiration lorsque Max décide de se balader, et ferme les paupières dans un soupir de la sentir goûter chaque centimètre de sa peau. Ce que c’est bon. A chaque fois qu’elle le frôle même, des milliers de frissons le parcourent jusqu’à s’évanouir au bout de ses doigts. Elle le rend fou. Et il use de tout le contrôle dont il est capable pour la laisser faire et ne pas reprendre le contrôle de la situation, malgré le plaisir qu’elle lui octroie gratuitement. Il doit se laisser faire. Se détendre. Lui qui est toujours si impatient, c’est une vraie épreuve mentale que de la sentir descendre de plus en plus bas. Ses doigts viennent passer dans ses cheveux, alors qu’elle se perd sur son torse, et il bascule un peu la tête en arrière plus elle descend.

Lorsqu’elle arrive finalement à la limite de son pantalon, il vient pencher le menton pour venir la regarder. Le sourire qu’elle lui donne l’achève totalement, et une vague brûlante vient prendre part de son corps. Il ne sait pas ce qu’elle compte faire. Et lorsqu’il sent sa langue remonter, son corps est pris de frémissements incontrôlables, ses abdominaux et ses pectoraux se contractent sous son toucher, il ferme à demi les yeux pour profiter de cette sensation enivrante. Junho grogne, d’une protestation à peine crédible lorsqu’il la sent laisser sa marque dans son cou, et se presse pourtant un peu plus contre elle en passant ses mains derrière sa nuque. Il finit par sentir ses doigts au niveau de son bassin et la laisse faire, avant de s’aider de ses jambes et des ses pieds pour retirer le pantalon une fois déboutonné. Apparemment, il n’arrive pas totalement à se calmer. Le tissu était déjà fin, mais le fait de sentir leurs bassins l’un contre l’autre, uniquement séparés par leurs sous vêtements, achève de le rendre fou. Sous les baisers de Max, il vient passer ses mains dans son dos et y enfonce ses doigts jusqu’aux ongles, comme s’il craignait qu’elle ne tombe s’il ne s’accrochait pas à elle désespérément. Il la force à venir l’embrasser à nouveau, sur les lèvres, et s’y attelle de façon désordonnée. Leurs deux souffles se croisent et se mêlent, l’air uniquement rempli des sons de leurs peaux et de leurs vêtements l’un contre l’autre. Sans pouvoir s’en empêcher, même sous elle, Junho presse son bas ventre contre son intimité dont il sent la chaleur irradier à travers la dentelle. Sois patient, et pourtant il n’y arrive pas. De longues minutes sous elle se retrouvent être de trop, et il inverse leurs positions à nouveau. Ses lèvres viennent se poser au milieu de sa poitrine avant de redescendre, d’une façon aussi frustrante que celle dont elle a usé plus tôt. Il sent ses muscles se tendre sous ses baisers, et arrive jusqu’à la limite de sa culotte, dernier vêtement qu’il lui reste.

Au lieu de s’arrêter, il vient la regarder, le visage encadré de ses cuisses, avant de venir déposer des baisers sur la dentelle. Il descend, jusqu’à ce que la moitié de son visage disparaisse, de baisers timides qu’il vient déposer contre son intimité. Il décide de faire du pas à pas, de lui faire découvrir la sensation tout en augmentant la tension. Et c’est à travers le tissu qu’il laisse sa langue remonter puis appuyer doucement, relevant le regard pour aviser de sa réaction. Il vient déposer des baisers à l’intérieur de ses cuisses, tout entier fiévreux à l’idée de s’y reposer plus tard et de la faire entièrement sienne.

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votre tenue ⌁ Aucun autre son au monde que celui de ses soupirs ne peut paraître plus beau. Tout en parcourant la peau de Junho de ses lèvres, Max savoure chaque seconde, le cœur battant. Elle est belle, cette mélodie. Enivrante, étouffante de désir. Sa propre envie ne peut que s’amplifier férocement en sentant celle du jeune homme en plein débordement. Dieu ce qu’il peut lui plaire. C’est fou, cette chaleur au bas ventre qu’il lui procure. Même quand il ne la touche pas, même quand il ne la regarde pas pour magnifiquement pencher sa tête en arrière. Le simple fait de le sentir aussi avide de ce qu’elle lui fait renforce son propre désir. Lui-fait-elle autant de bien ? Le rend-t-elle si fiévreux que ça ? La petite douceur n’ose pas l’avouer directement. Elle n’ose pas avoir conscience de ce potentiel érotique qu’elle se découvre à peine. Pourtant, le muscle vital qui palpite comme un fou furieux dans sa poitrine et qui lui sert de cœur semble lui crier que oui. Oui. Elle lui fait du bien. Elle le fait soupirer, frémir… Et cette sensation est grisante. S’échouant dans le creux de son cou qu’elle ne manque pas de marquer avec une adorable possessivité, Max laisse ses doigts glisser sur le torse du plus âgé et atterrir sur le bouton de son dernier vêtement. La façon dont Junho l’aide pour enlever son pantalon la fit faiblement sourire de reconnaissance contre sa peau sablée. Il peut grogner, s’il le souhaite. Se plaindre de ses doux sévices, la maudire amoureusement. Cela la rendra toujours plus accro et envieuse de lui.

Le pantalon du beau brun finit par rejoindre le haut de sa lingerie et la belle soupire contre sa mâchoire masculine. A présent à égalité l’un et l’autre, les deux jeunes amoureux semblent être pris de la même frénésie, au même instant. C’est avec envie qu’elle se hisse un peu plus sur lui afin de le surplomber complètement et de répondre aux baisers fiévreux qu’il lui impose. Ses mains viennent tenir le visage du mannequin en coupe afin de l’encourager à se déchainer sur elle d'avantage. Avec tout autant de hargne et d’amour que Junho, Max fond sur ces lèvres gonflées de désirs et presse les siennes dessus de façon disloquée et euphorique. Sa langue se colle avec langueur sur la sienne, ses dents s’agrippent à la chair inférieure de sa lippe pulpeuse. Elle sent vite la virilité du jeune homme qui se presse contre son intimité et ainsi contre la chaleur de sa propre envie. Un gémissement brulant s’échappe de sa bouche tendrement martyrisée. Cette sensation… leurs bassins collés l’un contre l’autre… C’est agréable. Tellement agréable. Son petit bas ventre se tord alors de désir tandis que, sans réfléchir, la belle appuie son bassin pour épouser celui de Junho et lui répondre. Les phalanges masculines qui s'accrochent à son dos la rendent dingue. Sa respiration se fait plus forte, plus saccadée. Elle adore et ose à peine onduler tout contre son corps, peut être un peu perturbée et honteuse d’y prendre autant de plaisir tout à coup. Pourtant, elle en meurt d’envie. Plus tard. Se dit-elle. Lorsqu’ils seront nus, cela sera certainement encore meilleur, pas vrai...?

La façon dont il la retourne afin d’inverser leur position la fait adorablement grogner de désir et de surprise. Lorsqu’il revient embrasser son buste, elle laisse ses doigts accrocher tendrement ses cheveux de plaisir. Puis, voilà que Junho commence à descendre à son tour. Max s’en trouve presque frustée, malgré les lèvres du jeune homme contre son petit ventre brulant qui lui font le plus grand bien. Que fait-il ? Elle veut le sentir tout contre elle, sentir son torse qui écrase sa poitrine, sentir sa peau contre la sienne. Cette sensation est la plus belle du monde. Elle est prête à lui dire, levant alors son beau minois pour l’observer. Il est si bas et elle a l’impression qu’il va… Vraiment ? « Oppa… » a-t-elle à peine le temps de souffler avant que tout son corps ne se torde sous une sensation divine. Contre la dentelle, Junho embrasse son intimité. Il lui donne de doux et légers baisers aériens qui lui font monter le rose aux joues, qui l’oblige à l’observer faire d’un regard terriblement envieux. Elle soupire, frémit, ne comprend pas ce qui se passe. « Oppa… c’est...! » Un gémissement absolument divin ainsi que surpris franchit la barrière de ses lèvres et l’oblige à se taire. La langue du beau brun s’appuie contre sa fleur et se presse à travers le tissu. Un tissu qui devient humide mais pas seulement à cause du muscle chaud et mouillé qui la touche. La sensation est terriblement merveilleuse. Le plaisir ressenti, quasi électrique. Le corps tendu comme jamais, c’est une jolie Max perdue qui ferme les yeux pour savourer ces petites secondes honteusement agréables. Il embrasse l’intérieur de ses cuisses tremblotantes, la fait frissonner de tout son être. Elle veut encore ressentir l’électricité en elle. C’est ce que ses yeux brulants de désir disent à son ainé lorsqu’elle prend le risque de répondre à son regard. D’elle-même, la belle fait très faiblement glisser un coté de sa lingerie afin de montrer sa curiosité envieuse. Elle profite de son geste pour aller choyer la joue de Junho, dans un frôlement de paume tendrement amoureux.
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votre tenue ⌁ Elle peut appeler oppa autant qu’elle le souhaite, il ne s’arrêtera pas. Tous ses traits sont tordus de désir, et il prend plaisir à les parcourir de son regard. Elle découvre. C’est ? Il attend la fin de sa phrase, tente de la décrypter dans ses hanches qui se soulèvent, dans les frissons qui envoient la chair de poule le long de ses cuisses. Il goûte son gémissement avec plaisir et frustration, s’affaire aux alentours en attendant de voir sa réaction. Il veut presque qu’elle lui en demande plus, comme pour le premier baiser passionné qu’ils ont échangé, après qu’elle soit sortie de la douche. Il veut qu’elle en arrive à le supplier de poser ses lèvres sur elle, qu’elle se presse contre lui avec autant de frustration qu’il peut en ressentir. Même plus. Il veut la torturer et l’envoyer aux cieux tout en même temps, plus que conscient de la fine limite entre les deux extrêmes. Lorsqu’il rencontre son regard, son propre bas ventre se réveille un peu plus de voir ses yeux humides et remplis de luxure. Il la pervertit. Il lui fait découvrir le plaisir de la chair, et de la façon dont elle le fixe à présent, il a presque peur qu’elle ne fasse qu’une bouchée de lui. Qu’elle ne se rassasie jamais de ses baisers ou de ses étreintes. Et elle bouge, l’incite à aller plus loin, du tissu qu’elle écarte un peu sur le côté. Il vient soupirer entre ses cuisses, laisse son souffle la caresser et au lieu de se satisfaire d’un pan de tissu écarté, il vient tirer sur sa culotte pour la faire descendre le long de ses jambes. Son coeur bat à tout rompre. Minutieux jusqu’aux gestes les plus simples, il laisse ensuite ses doigts remonter sur ses cuisses avant de venir en caresser l’intérieur. Après lui avoir accordé un petit sourire, mi réconfortant mi taquin, le jeune homme vient passer ses bras autour de ses jambes pour enfouir son visage là où elle ne le verra pas.

Junho vient déposer des baisers sur sa peau nue. Il fait le chemin lentement, faisant les contours avant de s’attaquer au vif. La peau délicate au plus haut de ses cuisses, avant de se perdre totalement. Un baiser, deux. Doux. Il sait qu’il n’en faut que peu pour lui faire du bien à cet endroit, et ne souhaite pas l’effrayer tout d’un coup. Il imagine déjà la situation assez étrangère pour elle sans qu’elle n’aie à supporter qu’un homme bourrin s’occupe de son corps comme bon lui semble. Il finit par poser ses lèvres sur son point sensible, laisse sa langue se frayer un passage pour venir la caresser doucement, ressentant son plaisir dans son bouton tendu et chaud. Il craint qu’elle ne le repousse ou prenne peur, et resserre son étreinte autour d’elle tout en plissant un peu plus les paupières de concentration. Au bout d’un moment, le jeune homme finit par descendre un peu pour passer sa langue le long de son entrée, qui semble tout prête à l’accueillir. Pas encore se dit-il, alors que son corps semble sur le point d’exploser. Et il finit par remonter à coup de baisers hors de la chaleur, remonte le long de son ventre jusqu’à venir la regarder. Un sourire provocateur vient remonter les coins de ses lèvres, “C’est ?...” répète-t-il, envieux d’entendre la fin de sa phrase, de savoir les mots qu’elle emploiera pour signifier son désir

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votre tenue ⌁ Oh que oui, il la pervertit. Plus que jamais. Mais Max semble apprécier ce beau drame à merveille. Fiévreuse, surprise, excitée… la petite poupée encore pure se plait à perdre son innocence. Elle découvre, goute, savoure chaque seconde que Junho lui fait subir de sa tendre bouche et de ses dangereuses caresses. L’enfance et l’insouciance s’éloigne à jamais, la femme en elle se montre enfin. Est-ce qu’elle lui plait ? Elle a tellement envie de lui plaire. De le rendre fou. Elle veut qu’il la scrute avec ce même regard tout le temps. Ses yeux sombres sont magnifiques, diaboliques. Il la perturbe et lui font monter le rouge aux joues. Ou bien est-ce cette sensation tout simplement divine qu’elle vient de ressentir par sa faute ? A cause de cette langue chaudement posée contre la partie la plus secrète de son corps ? Certainement. Au fond, c’est un mélange de tout. Mais tout vient de Junho. C’est lui qui la fait se perdre, lui qui la rend aussi ivre de désir. Elle le maudit amoureusement, de ces belles prunelles claires. Elle se vengera. Tôt ou tard. Il ne comprendra plus rien.

La culotte finit par glisser le long de ses jambes tandis que les battements de son cœur s’affolent. C’est une jolie Max fragilisée qui admire le visage de son âme sœur et qui soutient sa respiration en devinant ce qu’il compte faire. Une Max complètement nue sous les mains expérimentées de son homme. Elle appréhende en voyant que les choses commencent à devenir de plus en plus graves et sérieuses. Fort heureusement, Junho sait vite la mettre en confiance et la rassurer. Aussi coquin que doux, le jeune homme embrasse délicatement la peau de ses cuisses avant de venir s’attaquer sur le point le plus important et le plus envieux. Des frissons parcourent son épiderme couvert de baisers et lui font retenir un peu plus son souffle. La bouche de Junho finit par rencontrer son jardin secret en douceur. Le contact est aussitôt grisant. Une décharge encore plus forte que la première se fait ressentir. C’est une véritable sensation de chaleur intense qui se dégage de l’endroit en question pour ensuite se faufiler partout dans son corps. Totalement chamboulée, Max frémit avec hargne et accroche férocement ses doigts aux draps du lit. Leur lit...

Sur la pente raide, elle observe Junho avec un regard adorablement paniqué. Comme si elle avait besoin qu’il lui explique ce qu’elle ressentait là. Comme si elle n’arrivait pas à comprendre l’ampleur du plaisir qu’elle prenait. « Mais… qu'est-ce-que...» Max ne parvient pas à terminer sa phrase. Un gémissement l’achève en sentant la langue du beau brun frôler l’entrée la plus secrète de tout son être. Ses formes se tordent et s’arquent merveilleusement alors. Sa poitrine se bombe avec sensualité. Instinctivement, la douceur bascule son beau visage honteux en arrière et fait glisser ses mains dans les cheveux noirs de son ainé avec une douce frustration. Junho finir par remonter jusqu’à elle en la torturant de sa langue et la faisant alors couiner de désir. Sa voix de velours la tue et amplifie le désir brulant qui torture son bas ventre. « C’est tellement bon...» Avoue-t-elle presque en gémissant de honte, tellement belle et mignonne ; troublée face à tout ce qu’elle ressent. «Tu m'apprendras à faire pareil pour toi...? » Souffle-telle dans un grognement absolument délicieux, tandis qu’elle colle un peu plus son intimité à présent nue et plus chaude que jamais contre la cuisse de son bel amant. Ses lèvres viennent martyriser les siennes à coup de canines et de langue ardente. Un vrai volcan.

Ils se dévorent. Ils se rendent fous. Et Max finit par laisser une main glisser dangereusement pour la lover contre la virilité durcie du beau brun. Elle le regarde de ses yeux de feu et presse alors sa paume contre lui, tout doucement. Une fois. Deux fois. Avant de se mettre à la mouvoir avec une enivrante sensualité. Le sentir s'enhardir contre ses doigts la fait rougir de plaisir. Se mordant la lèvre, la belle va plus franchement de son geste, appuie plus fort, alterne certaines ondulations de ses phalanges tout en observant la réaction de Junho qui la surplombe. « Je veux te caresser sans rien… » Avoue-t-elle d’une mélodieuse voix douce. Elle n’attend pas vraiment de réponse. Lentement, son autre main se glisse dans le boxer du jeune homme et se cale sagement sur le coté. Ses doigts rencontrent la chair de sa hanche qu’elle cajole tout en la pinçant tendrement. Elle laisse ses doigts poursuivent leur voyage et atterrir sur l’une de ses fesses. Cette fois, pas de pitié. Plus coquine et envieuse que jamais, Max agrippe avec fermeté la chair de son fessier en soupirant. Dieu que cette courbe peut la rendre dingue. Le tissu étroit descend complètement et libère enfin le beau brun de sa cage. Aussitôt, la belle rencontre la virilité mise à nue de Junho. Le toucher entre leurs peaux est curieux, timide... et profondément grisant. Fascinant. Elle apprécie le contact aussi doux que vigoureux qui s'en émane et se met alors à l’effleurer inlassablement, du bout des doigts. Elle test d'une façon plus qu'appréciable. En même temps, sa seconde menotte masse toujours son fessier avec ivresse. Son regard se plante sur le visage du plus âgé pour observer ses traits. « Est-ce que ton amoureuse te fait du bien, Oppa...? » Questionne la poupée de sa petite voix, avec une diabolique candeur. « S'il te plait... Guides-moi. » Implore enfin une Max studieuse... si joliment avide de savoir.

feat. junho oppa bb

votre tenue ⌁ Il meurt tout autant, si ce n’est plus, que Max. Il ne l’a jamais trouvée aussi belle que maintenant, même s’il aura sûrement la même pensée le jour d’après, et le jour suivant encore. Ses gémissements résonnent dans ses oreilles et font des tours dans sa tête, comme une ritournelle qu’il ne souhaite jamais voir disparaître. Les mots qu’elle lui adresse font monter un sourire assez fier sur ses lèvres, son ton envoie une certaine tension dans son bas ventre. Il ne peut pas s’empêcher de venir embrasser différentes parties de son visage alors qu’elle continue de parler, et lui répond un “Oui” entre deux baisers avant de venir se perdre sur ses lèvres. Il lâche un long soupir contre elle la sentant se presser avec tant d’envie, n’ayant jamais pu deviner tant de désir dans un être à l’apparence si innocente que Max. Elle le torture tant et si bien qu’il sent sa lèvre inférieure s’ouvrir sous ses coups de dents, ce qui ne semble pas arrêter la demoiselle. Tant mieux. Il répond à ses baisers avec autant d’envie et de fougue, se presse contre elle plus excité que jamais. Il sent finalement la main de Max se glisser entre leurs deux corps et tend ses abdos d’attente, bien trop à l’exigu depuis tout à l’heure dans son boxer qu’il crève d’envie de faire tomber par terre. S’il ne l’a pas fait c’est pour lui donner le temps de le faire elle même et après tout, il n’a jamais techniquement été tout nu devant elle. Il plonge ses yeux dans les siens et laisse son souffle, agrémenté d’un petit râle, venir s’échouer contre ses lèvres. Il se sent devenir fou. Il se sent même durcir un peu plus, ce qu’il ne croyait plus possible à un tel point de tension. Il en vient même à se dire qu’il n’a jamais été dans un état pareil, ce qui va peut-être avec le fait qu’il n’avait jamais passé autant de temps sans rien faire avec personne. Mais ça, on l’omettra. Il sait que la majeure partie de son état est dû à la jeune femme qui se trouve sous lui et qui lui fait de l’effet comme personne ne lui en a jamais fait.

Il ne détourne pas une fois le regard, alors même que Max l’apprivoise de ses doigts. La situation n’en est que plus excitante, de pouvoir détailler chacune des expressions qui passe dans ses yeux, d’essayer d’imaginer ce qu’elle se dit, ce qu’elle ressent. Est-ce qu’elle le désire autant que lui ? Il l’espère. Il a envie qu’elle devienne accro à son corps et ne puisse plus s’en passer, qu’elle le déclare comme sien et en parcoure chaque centimètre sans lui en demander son avis. Elle parle et il ne répond rien, elle ne lui a pas exactement posé de question, la laissant juste faire comme bon lui semble. Il frissonne sous son toucher et ses pincements, grogne légèrement de surprise en sentant Max agripper son fessier si violemment. Il ferme finalement les yeux et sent le tissu descendre finalement, son excitation tout entière découverte et il s’en sent quelques secondes honteux, prêt à ce que Max parte en courant. Rien ne se passe, et il laisse cette mauvaise sensation s’évanouir aussi vite qu’elle est apparue. Il rouvre les yeux lorsque Max commence à le caresser un peu plus vivement, vient acquiescer fiévreusement à sa question. Sa demande le déstabilise un moment, mais il finit par venir contre son oreille pour y murmurer “Prends moi entièrement dans ta paume…” doucement. Il vient mordiller le lobe de son oreille et le suçoter, peu sûr de quels mots utiliser pour la guider de façon appropriée. Il n’a jamais réellement été dans cette situation auparavant, et si une fille a déjà eu envie de lui demander un jour, elle ne l’a jamais fait de vive voix. Un savant mélange d’ignorance et de curiosité qui le rend un peu plus fou. Il vient s’abandonner dans son cou “Et tu peux faire des va-et-viens… Doucement…” murmure-t-il avant d’embrasser sa peau. Il fait tout de même attention, d’un contrôle acquis durant les années pour ne pas aller trop rapidement. Il vient embrasser ses épaules doucement. “Libre à toi de me retourner aussi… De m’y embrasser… De me goûter..” lance-t-il difficilement, puisqu’elle lui a fait la demande un peu plus tôt, de savoir comment on fait. Il ne fait que des suggestions, pas tout à fait sûr de jusqu’à où Max se sent d’aller pour la première fois, laisse des portes ouvertes. Il crève d’envie d’aller en elle, d’un désir qui s’en fait presque douloureux à présent après tant de temps contenu.


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votre tenue ⌁ Prisonnière de son corps et de son amour, le seul espace séparant leurs peaux est celui lui permettant de le caresser et de le découvrir. Un infime et ridicule petit espace, tant leurs deux corps sont déjà si avides l’un de l’autre. C’est fort. C’est déjà beaucoup trop fort. Une alchimie qu’elle ne retrouvera jamais ailleurs. Comment cela peut être déjà si fort, alors que c’est la toute première fois ? Lorsque ses copines parlaient de leurs premières expériences avec un garçon, la Max de l’époque avait timidement tendu l’oreille pour écouter. Les demoiselles avaient dressé un tableau peu glorieux de leur premier moment et cela n’avait fait que la noyer un peu plus dans sa timidité maladive. Pourtant, ici, tout de suite… La belle se rend compte de son erreur. Parce que… dans les bras de Junho.... seul le désir, l’amour et même la curiosité dominent son cœur battant d’émois. La peur n’existe pas, l’angoisse non plus. C’est même avec une merveilleuse certitude qu’elle s’abandonne pour lui, qu’elle le laisse la tuer de plaisir tendrement, à petit feu. Intense. Palpable. Terriblement doux… Rien que pour ça… elle remerciait le ciel d’être tombé sur un homme aussi formidable.

Tout son corps frisonne lorsqu’il vient lui souffler à l’oreille des indications d’une voix plus suave que jamais. Elle souffle en même temps que lui de toute cette tension affolante entre eux… puis pousse une adorable petite plainte lorsque les dents ainsi que la langue de son bel ainé se jouent de son lobe. Leurs soupirs se croisent et s’emmêlent... leurs regards ne quittent pas un seul instant. Max le juge d’un amour et d’un désir enflammé. Bonne élève, ses doigts viennent très délicatement s’enrouler autour de son envie plus qu’évidente tandis que sa paume le prend entièrement sous sa chaleur. Elle gémit faiblement lorsqu’il se noie dans son cou pour embraser sa peau et fait alors remonter son autre main pour agripper tendrement sa crinière brune. Ses propres lèvres l’embrassent à chaque endroit possible. Des vas-et-viens… ? Les joues rosies d’une douce honte combinée à une envie plus que vitale de lui faire du bien, Max s’exécute alors, plus douce et tentatrice que jamais. Comme il lui a expliqué, elle effectue le mouvement, doucement. Très... très doucement. Une lente et profondément frustrante série de langoureux vas-et-viens. Parfois pourtant, elle le surprend d'un geste plus sec et moins sage. Certainement la plus belle des tortures pour celui qui n’attend que la posséder depuis déjà trop de temps. « Comme ça… ? » Susurre-t-elle dans un souffle chaud et mignon, tout contre l’oreille de son homme. Oreille dont le lobe se fait agripper à son tour par ses petites canines dans un doux esprit de revanche. Son petit bassin se mouve faiblement en même temps et s’éveille encore plus. L’entendre soupirer contre elle, grogner contre ses lèvres… ça la met dans un état second. L’envie du jeune homme vibre et s’enhardit un peu plus entre ses phalanges. Cette situation est honteuse, excitante, grisante.

Elle repense à ce qu’il a suggéré un peu plus tôt. Le gouter… Il n’aurait pas dû. Elle en meurt d’envie maintenant. Surtout si c’est aussi agréable pour lui que ça l’a été pour elle. Voyant joliment rouge, Max se dépêche d’inverser leurs positions à nouveau pour grimper sur lui. Fougueuse. Angélique. Inconsciente. Un fin sourire étire ses lippes tandis qu’elle lui lance le regard le plus coquin du monde. « Ça, c’est à moi. » Assure t-elle en embrassant ses lèvres charnues, dans un murmure usé par le désir. Sa propre bouche finit par glisser en même temps que ses mains et son corps sur celui du beau brun. « Alors ça… C’est sur que c’est à moi. » Souffle la belle avant de déposer un tendre baiser sur l’endroit où le cœur palpitant de Junho se trouve caché, avec amour. Elle frisonne un peu plus contre sa peau et continue son chemin. Sa langue va frôler chacun de ses abdos, sensuellement. « Ça aussi… » Ses lèvres se pressent contre ses muscles tendus tandis que ses mains finissent par suivre les formes masculines de son bassin et de ses cuisses, chaleureusement. Max arrive enfin au point culminant et stoppe tout un instant. Elle observe le beau spectacle qu’elle a sous les yeux et rougit. Rougit de plaisir. Doucement, elle vient reprendre la virilité de son homme entre ses doigts et assure à ce dernier en le dévisageant : « Tu m’appartiens, Oppa. Plus aucune autre ne peut te toucher. C'est moi qui doit te faire du bien. Tu es à moi… » A elle, oui. Pour toujours et plus jamais qu'en ce moment. Après cette déclaration si joliment possessive, son souffle finit par s'échouer contre ce membre que la belle se met alors à embrasser timidement... de bas en haut. Une fois, deux fois. Sa bouche reste sage et ne le dévore pas. Elle fait simplement passer sa petite langue dessus, doucement, à plusieurs reprises… Avec une terrible langueur. Les vas-et-viens continuent inlassablement et la poupée goute, découvre… savoure.

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votre tenue ⌁ Sa retenue ne tient qu’à un fil. Ce qu’il est sage, dans les mots qu’il lui susurre à l’oreille, dans les gestes qu’il lui accorde. Bien trop. Et ce n’est que pour elle, la femme qui, paradoxalement, lui donne le moins envie de l’être. Il a peur de l’effrayer avec ses mots et pourtant, il sent bientôt les doigts de Max répondre à son incitation. Il retient sa respiration en sentant la chaleur de sa paume autour de lui, et vient prendre ses lèvres avec envie pour y laisser tous les sons s’y échapper. Il tremble doucement contre elle, d’une émotion et d’un désir qui dansent comme une flamme au creux de son ventre. Il vient acquiescer doucement de la tête pour lui dire qu’elle fait bien, comme ça, exactement, malgré la frustration qui monte en lui de ses mouvements désespérément lents et tortueux. Il vaut mieux que ça soit ainsi. Alors il se mord l’intérieur de la joue, vient mordre les lèvres de Max de concord, vient embêter sa langue pour décharger sa tension quelque part. Il se laisse retourner, vient la regarder avec des yeux brillants d’envie, et la laisse faire. Pour empêcher ses doigts d’aller là où il ne faudrait pas, il vient s’accrocher aux draps sans détourner son regard de Max qui semble prendre ses aises dans une situation qui lui est pourtant inconnue. Un talent naturel sans doute, qui n’est pas pour lui déplaire.

Il laisse une plainte s’échapper lorsque Max quitte ses lèvres à nouveau, la laisse déclarer l’exclusivité de toutes les parties de son corps. Il décroche une de ses mains pour venir caresser sa joue, alors que son corps semble s’éloigner encore un peu plus de lui. Il fait une moue, a même déjà oublié les mots qu’il a lui même prononcé un peu plus tôt, bien loin de s’imaginer qu’elle aurait réellement l’envie de s’exécuter. Il pense inutile de lui affirmer qu’il ne peut contester aucune parole qui sort d’entre ses lèvres, alors que ses doigts retrouvent sa virilité et que son souffle s’en trouve coupé. Il finit par venir soupirer doucement, longuement, en sentant ses lèvres mouillés contre sa peau tendue… Et ferme les yeux un instant, malgré l’envie de l’observer à la tâche. Ses doigts viennent se frayer un passage dans ses mèches de cheveux et il relève un peu le bassin malgré lui. C’est divin. Qu’a-t-il à lui apprendre ? Elle semble se débrouiller merveilleusement bien seule. Un peu trop bien sûrement, car Junho finit par se redresser et lui attraper les épaules pour l’attirer à lui. “Je ne peux plus attendre” murmure-t-il à son oreille en venant poser ses mains dans son dos. Le jeune homme vient déposer des petits baisers dans son cou et sur sa joue. “J’ai envie de toi tout de suite” vient-il chuchoter en inversant leurs positions à nouveau. Qu’importe la sensation qu’il a arrêté de lui même comme un masochiste, il meurt d’envie d’être au chaud en elle.

Le jeune homme tend le bras pour essayer d’ouvrir le tiroir de sa table de chevet, attrape un petit paquet et ramène sa main vers lui. Il vient chercher les lèvres de Max tout en venant trouver ses doigts de sa main, pour lui déposer le préservatif dans la paume. “Tu sais le mettre ?” demande-t-il dans un soupir en se pressant contre elle.

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votre tenue ⌁ La gêne est vite mise de coté afin de se concentrer uniquement sur l’homme qui occupe toutes ses pensées les plus secrètes. Cet homme qui est une véritable merveille à ses yeux… qu’elle aime d’une passion sans limite, désespérément. Chaque baiser, chaque coup de langue est fait avec une ardente et voluptueuse douceur. Elle le sent vibrer entre ses doigts et contre ses lèvres… perdre de plus en plus la raison par sa faute. Lui fait-elle du bien à ce point ? Max n’ose pas l’envisager, encore si peu sûre d’elle. Pourtant, les soupirs lourds et les muscles tendus de Junho semblent lui indiquer que oui. Alors, elle continue sa sensuelle parade et n’hésite pas à le couvrir encore plus de chaleur. Il lève envieusement son bassin comme pour en demander davantage et ce geste amplifie la flamme nichée dans son propre bas ventre, follement. La petite coréenne découvre elle-même l’excitation intense et frustrante qu'est celle de donner du plaisir à l’être aimé. C’est tellement agréable. Tellement fou. Cette sensation lui donnait presque envie de rester encore de longues minutes ainsi, à le couvrir d’attentions pas très sages. Sauf que Junho en décide autrement, et c’est sagement que Max le laisse la hisser jusqu’à lui… à nouveau prisonnière de ses bras, docile et amoureuse. Ce que le beau brun lui murmure à l’oreille la fait se mordre la lèvre, frémir. Très envieuse, la poupée se met à approfondir les faibles ondulations de bassin qu’elle effectuait inconsciemment sur son envie. Cette envie tout aussi délicieusement humide que la sienne, à cause de leurs langues respectives ayant été baladeuses un peu plus tôt. Le contact est électrisant et la fait soupirer contre le front du plus âgé qui embrasse alors son cou. Ses joues rosissent d’envie lorsqu’il lui chuchote avoir envie d’elle. Elle aussi, elle a envie de lui. Tellement envie...

C’est avec une douce fatalité qu’elle se retrouve sous son poids, prisonnière à jamais de ses désirs. Ses yeux brillent autant d’impatience que d’appréhension. Ils scrutent le coréen avec un amour pur et envieux comme jamais. Une petite angoisse vient la surprendre, tandis qu’il sort avec minutie la protection de leurs futurs pêchés. Max inspire et expire alors, faiblement. Ses mains cajolent fébrilement le visage ainsi que les cheveux du jeune homme, comme pour calmer ce début d’anxiété parfaitement naturel qui se mêle à l’excitation. Sans qu’elle ne s’y attende, le préservatif atterrit dans sa main et c’est avec un adorable regard perdu qu’elle observe le visage fiévreux de son petit ami. Un soupir sucré s’échappe de ses lèvres en même temps que le sien alors qu’il se presse un peu plus contre elle. « Non... mais je vais apprendre.» Avoue-t-elle dans un souffle certain, tandis que sa bouche vient fébrilement se coller contre la sienne. Tout en passant ses bras autour de la nuque de Junho, elle déchire fébrilement le sachet, frissonnante de plaisir. Malgré eux, leurs bassins désireux se caressent encore plus envieusement et peinent à la laisser se concentrer. «Ah… attends…!» Gémit-elle en lâchant un tendre rire suave, autant frustrée qu’excitée. Puis, Max se lance. Sans trop de mal, étonnement, ses petits doigts tremblants de maladresse parviennent à correctement dérouler la protection toute huilée sur la virilité du beau brun. Elle en rougit d’une douce honte et remontent vite ses prunelles vers les siennes.

Un beau et faible sourire vient étirer ses lèvres, alors qu’elle le regarde intensément et que tous deux se comprennent. Son cœur ne peut s’empêcher de faire d’immenses bonds dans sa poitrine écrasée par le torse d’un Junho plus séduisant que jamais à cet instant. Ça y est. C’est maintenant. C’est pour lui. Ce qu’ils s’apprêtent à faire... ce qu’il va lui dérober… ça n'appartiendra toujours qu'à lui. Le temps s'arrête soudainement. Un peu tremblante, Max soupire une dernière fois. Afin de se rassurer, elle vient plaquer le dos d’une des mains contre le matelas, entrouvre sa petite paume... et invite en silence Junho à venir entrelacer ses doigts aux siens. Elle le dévisage amoureusement... belle et offerte. « Je t’aime... » chuchote doucereusement sa voix, dans un souffle tendre.

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votre tenue ⌁ Il s’attend inconsciemment à ce qu’elle le repousse, qu’elle lui rie au nez. “Que t’es bête” lui dirait-elle dans un rire malveillant en s’échappant d’entre ses bras. Les petits démons qui reviennent papoter dans ses oreilles, sûrement une angoisse qui lui est propre de sceller d’une union physique l’amour qu’il lui a déclamé tantôt. Il ne regrette pas. Ce sentiment, il le ressent encore jusqu’au bout des doigts, il lui déchire la poitrine, encore un peu plus. Et Junho n’a jamais connu ça, un moment au lit empreint de tant de tension et de choses dites et non dites, de tant d’émotions. L’acte lui a toujours été plaisant, rempli de désir uniquement charnel et d’envie rapidement comblée. L’ambiance ici est différente, il se prend à réfléchir là où auparavant on ne l’y avait jamais surpris. Il lui donne encore une porte de sortie, craint quand même au fond qu’elle puisse le ressentir comme s’il la forçait. Elle se prête au jeu sans faire d’histoires, d’un petit objet qui rend tout de suite les choses bien plus concrètes. Il l’embête alors qu’elle déchire l’emballage, il ne lui facilite pas la tâche et rit avec elle, ce qui laisse un peu de sa tension s’évanouir doucement. Bientôt tout est fait, c’est à lui de passer la prochaine étape mais un moment, il se perd dans le regard de Max. Sa Max.

Sa main vient rejoindre la sienne et ses doigts viennent s’entremêler aux siens. Un doux sourire vient parer son visage, et il lui adresse, l’écoute d’un coeur battant se déclarer une nouvelle fois à lui. Junho vient déposer quelques baisers sur ses lèvres, heureux, s’y perd un instant “Je t’aime encore plus” déclare-t-il comme un enfant qui veut renchérir. Sa main libre vient caresser la cuisse de Max, remonte jusqu’à l’intérieur, et il se prend soudain d’un trac propre à un acteur qui va délivrer la performance de sa vie. Mais c’est qu’il ne connaît pas, d’une certaine façon. C’est sa première fois comme ça, et mine de rien, ça ne le laisse pas de marbre. Il plisse les paupières et finit par venir se guider en elle, en se retenant de touts ses forces pour ne pas aller plus vite, pour ne pas lui faire mal par inadvertance. Junho soupire contre ses lèvres en se laissant envelopper de sa chaleur avant de se détacher tout doucement, laissant leurs bouches se frôler à peine pour lui demander “ça va ?...” Il serre un peu plus ses doigts contre les siens, et finit par aller cacher son visage dans son cou pour le couvrir de baisers, goûter sa peau, dont le parfum lui est maintenant si familier. Il finit par se serrer un peu plus contre elle avant de commencer ses va-et-vient, des coups de reins délicats et des allers lents pour l’habituer à la sensation. Et si elle se rend compte qu’elle ne veut pas de lui ? Qu’elle regrette ? S’il la dégoûte ? Il efface rapidement ces pensées et plisse un peu plus les yeux, vient lui murmurer qu’il l’aime à nouveau au creux de l’oreille.

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votre tenue ⌁ L’un des moments le plus important dans la vie d’une femme. Certainement celui qui la change à tout jamais. Avant même que Junho ne vienne tendrement lui dérober ce qu’il reste de son innocence, Max sent qu’elle n’est déjà plus la même. Et ce sentiment est autant grisant que merveilleusement troublant. Sans savoir pourquoi, tout en le regardant, son esprit embrumé par le désir refait le film de leur histoire. Du tout début... jusqu’à présent. Son cœur battant ne peut que se serrer de bonheur. Ils en avaient traversés des épreuves, pas vrai ? Avant qu’elle ne se rende compte de ses sentiments, avant qu’il ne parvienne à enfin ouvrir son cœur… Au fond, ça les avait renforcés. Plus proches que jamais, ils avaient réussi à combler la solitude de l’autre avec une chaleur des plus éblouissantes. Elle aussi, elle est heureuse. Et alors que leurs doigts se serrent les uns aux autres et qu’il lui affirme l’aimer encore plus, Max ne peut que sourire d’émotion, à deux doigts de lâcher un rire tendre malgré elle. Ses yeux sont embrumés de larmes de joie qui restent sagement dans ce noisette flamboyant. Elle butine ses lèvres en répondant docilement de ses baisers et laisse l’anxiété disparaître. Elle n’a pas peur. Elle l’aime du plus profond de son cœur.

Et voilà que Junho finit par se glisser en elle, tout doucement. La main de la petite douceur ne peut que l'agripper un peu plus fort... tandis qu’elle ferme les yeux et le laisse prendre le plus beau de tous ses trésors. Si c’est un peu douloureux, l’épreuve ne vaut rien face à l’amour débordant qui émane de leurs deux êtres. C'est le plus beau des prix à payer. Junho est doux. Prévenant. Tendre au possible. Un soupir tremblant vient s’échouer contre les lèvres du beau brun frôlant les siennes. En le sentant s’enfoncer un peu plus loin, ses prunelles s’ouvrent à nouveau. Elle le scrute passionnellement tout en s’habituant à sa présence en elle, le corps faiblement pris de légers spasmes. La façon dont il a scrute est tellement belle qu’elle ne peut que tendrement lui sourire en hochant doucement la tête. Oui, ça va. A merveille. Puis, les doigts du plus âgé s’entrelacent encore plus aux siens. Elle tourne alors son visage vers leurs mains pour venir déposer un baiser sur celle du jeune homme, amoureusement. Une larme roule malgré elle du coin de l’œil et vient s’échouer sur ce lien. Il la comble. Il la comble tellement...

L’émotion vient vite se faire rattraper par le désir lorsque Junho commence à faire doucement danser ses hanches en elle. A cet instant, Max découvre une nouvelle sensation. Une présence aussi perturbante que bien vite agréable. Les vas-et-viens de son ainé sont lents, délicats… doux à souhait. Il est en elle. Elle n’arrive pas à y croire. Pourtant, elle le sent magnifiquement bien. Il est bel et bien en train de lui faire l’amour… à cet instant précis. Et cette réalité est tout simplement grisante. Alors, la petite douceur y prend vite gout. Elle se perd dans les baisers qu’il offre à son cou, frisonne lorsqu’il lui murmure qu’il l’aime, commence à gémir faiblement face à ses latents coups de reins en elle. Diable… Comment une action peut–elle être aussi délicieuse ? De plus en plus troublée, à la fois envieuse de ce plaisir tout nouveau pour elle… Max se met à savourer chaque seconde en se lovant un peu plus contre Junho. A son tour, ses lèvres viennent embrasser son cou tandis que sa main finit par libérer la sienne après l’avoir choyé, afin de glisser dans son dos avec sa jumelle. Dos qu’elle caresse et qu’elle accroche en fronçant les sourcils. Cette chaleur qu’elle ressent lui fait perd la tête. Junho lui fait perdre la tête. « Pourquoi est-ce si bon, Oppa… ? » Ose questionner sa petite voix tout contre l’oreille du beau brun, dans un souffle fiévreux. Avide de plus de contact, son propre bassin finit par se mouver à son tour, lentement...

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votre tenue ⌁ Le stress finit par s’évanouir. Tout va bien, et il se fond en elle, a envie de s’y laisser aller totalement, fusionner avec un corps qu’il sent plus sien que jamais. Max le rassure, lui indique qu’elle va bien, ne semble pas esquisser un geste qui voudrait pouvoir signifier une envie de fuite. Alors il l’embrasse. Tout son corps frissonne, et il sent des milliers de petites décharges venir faire le chemin de ses doigts de pied à son crâne. Il se meut en elle, avec une forte douceur symbole de leur union, et semble véritablement se détendre entièrement en entendant des gémissements provenir des lèvres de la jeune femme. Il sourit légèrement, approche son oreille de ses lèvres comme pour l’entendre un peu plus, vient la chercher avec plus de force malgré la tendresse. Un ballet des corps qu’il était loin d’imaginer la première fois où il la rencontré.. Ne la trouvait-il pas trop bébé ? Trop naïve, douce, du genre à se faire avaler toute crue par le premier loup passant ? Il suppose qu’il s’est donné la place, à prendre garde que personne d’autre ne fasse tâter de ses dents, en substituant la méchanceté à la tendresse amoureuse. Au final c’est lui qui s’est fait avoir. Elle ne l’a pas fait exprès, lui non plus, et l’homme qui se pensait plus armé que jamais se trouve maintenant à nu avec une âme venue du ciel, la seule qui peut procurer à elle seule des sentiments si agréablement étouffants. Il lui répète à nouveau, “je t’aime”, au creux de l’oreille, et alors qu’il dépose ses lèvres partout sur son visage, dans son cou. Il laisse des râles lui échapper de même, de la sentir se resserrer autour de lui, de s'emparer entièrement de sa chaleur et d’entendre cette délicieuse question, sûrement rhétorique, qu’elle vient murmurer. Je n’en sais rien Max, je ne sais pas non plus pourquoi, avec toi, les autres expériences s’évanouissent.

Les doigts qu’elle enfonce contre la peau tendue de son dos le font soupirer, il se presse un peu plus contre elle dans des coups de reins qui se font un peu plus violents. C’est qu’il a envie de lui en arracher d’autres, des gémissements, des cris même. Il sait qu’il aura d’autres occasions, ou en tout cas il l’espère, mais il s’accroche à ce moment comme s’il risquait d’être unique. Son coeur palpite, sa peau brûle, ses muscles se tendent sous chaque nouvelle sensation qui se fait un chemin dans ses nerfs. “Max…” vient-il soupirer contre elle, prenant un de ses seins entre ses doigts pour venir l’embêter, l’autre main agrippée contre sa taille. Les minutes s’étirent, longues, courtes, il perd notion du temps et souhaite juste que celui-ci ne les rattrape pas. Malgré son esprit drogué par l’odeur du corps de son aimée, il n’est que trop conscient d’un moment qui ne pourra pas durer éternellement. “Laisse moi t’aimer toute la nuit…” vient-il susurrer à son oreille. "Laisse moi t'aimer toute la vie..."

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votre tenue ⌁ Qu’il lui explique. Par pitié. Qu’il lui dise pourquoi... ce qu’ils sont entrain de faire procure une telle sensation. En réalité, cette dernière est inexplicable. Même les mots les plus forts et les plus beaux du monde ne parviendraient pas à la définir à sa juste valeur. Complètement perdue et paniquée par ce plaisir enivrant et électrique qui lui prend le corps des pieds à la tête, Max ne peut que s’accrocher un peu plus au dos de son aimé avec la plus belle et la plus intense des détresses. Ses lèvres se plaquent avec violence contre celles de Junho. Elle le mord fiévreusement lorsqu’il se montre se montre moins délicat, fronce les sourcils en ressentant effroyablement bien les si agréables centimètres de sa personne plonger un peu plus en elle. Oh oui. Elle le sent tellement bien… Chaque seconde est vécue avec une langoureuse frénésie. Est-ce à cause de sa peau collée à la sienne, de son parfum enivrant qui l’enveloppe, de ses sensuels coups de reins qui la font honteusement rougir de plaisir ? La poupée ne sait plus. Elle est ailleurs. Merveilleusement larguée dans ce ciel que Junho lui fait découvrir, sa raison se tait pour laisser le cœur ainsi que le désir parler. Leurs corps s’épousent, fondent l’un dans l’autre, fusionnent. Ils ne font plus qu’un. Et réaliser cela pousse la belle à serrer davantage le beau brun contre elle, les yeux pleins d’étoiles.

La tension monte d’un cran. Les mouvements deviennent moins sages. Mais la tendresse, elle, reste toujours. La tendresse et la passion. Cette dernière peut se lire dans le regard d’une Max s’abandonnant totalement à l’homme dont elle est désespérément amoureuse. Je t’aime. Il le lui avoue encore. Je t’aime. L’entendre de sa voix si suave perle un peu plus ses cils dans une émotion fascinante. « Je t’aime encore plus… » Susurre-t-elle à son tour, souriant faiblement de malice en agissant comme une enfant qui renchérit. Comme il l’a fait un peu plus tôt. Elle le fait exprès. Forcément. Mais elle peut se le permettre car la complicité qui règne entre eux est l’une des choses qu’elle aime le plus dans leur relation. Frémissant de ses vas et viens de plus en plus puissants, Max a bien du mal à cacher ses soupirs. Chacun est teinté d’un érotisme terribement doux, horriblement enivrant… et s’échoue contre l’oreille d’un Junho plus fiévreux que jamais ; qui vient se saisir de l’un de ses seins et qui la fait couiner sensuellement.

Et là, il la tue. Il la tue en lui soufflant des mots plus beaux que jamais. Des mots semblables au plus précieux des trésors, qui enflamment trop vite le cœur ainsi que le bas ventre d’une Max déjà trop fébrile. « Junho… ! » Gémit-elle sans retenue, alors que ses ongles se plantent tendrement dans la chair de son dos et que son propre bassin ondule plus insolemment sous lui. Son souffle se fait encore plus clair, encore plus délicieux à entendre alors qu’elle se retient de pleurer de bonheur. « Promets-moi qu’on le fera tout le temps, partout…» peine-t-elle à demander en lui saisissant un instant le visage afin qu’il ne la quitte pas du regard. Elle se mord la lèvre, se plaint de façon divine, roule des yeux lorsque sa virilité va encore plus profondément en elle. Presque irritée de tout ce plaisir, ses doigts remontent et se glissent à l’arrière du crane de Junho. Ils agrippent lentement ses cheveux, s’accrochent désespérément à lui à la limite de sa nuque. Ses lèvres tremblantes s’échouent contre celles de son ainé et sa voix gémit davantage contre sa chair. « Je suis à toi… pour toujours. S'il te plait Junho, dis-moi le... » Souffle-t-elle alors que, d’instinct, son bassin se soulève et que ses jambes viennent entourer la taille musclée du beau brun, pour encore plus de sensations.

feat. junho oppa bb

votre tenue ⌁ Elle appelle son nom une nouvelle fois. Il en soupire de contentement, tout en s’efforçant d’aller plus loin en elle. Malgré tout ce n’est jamais assez, et si le plaisir est intense au fond de son ventre il peine à trouver des moyens d’aller en chercher plus, encore. Les ongles qu’elle enfonce dans son dos lui procurent plus de plaisir que de douleur, d’un masochisme qui doit être sien jusqu’au bout des doigts, et il se venge un peu en lui donnant un coup de reins un peu plus prononcé. Il sourit face à sa demande, qu’il n’aurait jamais cru pouvoir sortir d’entre ses lèvres autrefois jamais touchées. “Tout le temps, partout…” murmure-t-il pour répondre, plus que satisfait qu’elle puisse exprimer aussi librement ce qu’il souhaite du plus profond de lui même. Sûrement qu’il n’arrivera pas à garder ses mains pour lui même, d’un désir et d’un amour qui ne font que grimper à chaque fois qu’ils se voient, se touchent, se parlent, se regardent. Elle le rend fou, totalement fou, et il n’a jamais eu l’impression d’être si peu en contrôle de son corps que lorsqu’elle se trouve près de lui. Sûrement qu’elle reviendra sur ses envies lorsqu’elle pourra constater d’à quel point il lui en faut pour être repu.. Lorsqu’épuisée, elle lui dira qu’elle a besoin de dormir, qu’elle devra rester au lit toute la journée demain. Il s’en fait d’ailleurs un objectif, de l’obliger à sécher des cours pour se remettre d’étreintes passionnées, qu’il n’aura que trop d’envie de remettre sur le tapis dès qu’elle fera étalage d’un quelconque regain d’énergie.

Il sent ses jambes s’enrouler autour de lui et il prend ça à nouveau comme une invitation, à aller plus loin en elle, plus fort, avec une intensité grandissante. Il sait que le moment ne durera pas éternellement, surtout avec tout ce qu’il retient en lui depuis un moment, mais espère tout de même pouvoir lui provoquer un orgasme en concert avec le sien, dans les minutes qui arriveront. Ce sera de cette sensation divine dont elle ne pourra réellement plus se passer, le moment qui scellera une addiction mutuelle dont il ne voudra jamais se défaire. “Tu es à moi…” vient-il murmurer contre ses lèvres en pressant un peu plus sa main contre sa poitrine. Il vient pincer légèrement son bouton érigé, en venant la chercher profondément. “Et je suis à toi…” continue-t-il en sentant le plaisir grandissant au fond de son ventre. Il est proche de la fin, malgré son envie d’étirer le moment encore des heures. Ils y repartiront, de toute façon. Encore. Et encore. Et encore. Il ne la laissera pas s’assoupir. Il ne sait pas combien de temps s’est passé, d’un moment qui lui semble à la fois d’une longueur extrême et se terminant bien trop vite. Les minutes passent, agrémentés de jolis sons s'échappant des lèvres de Max, de râles et grognements virils s'échappant de concert avec des soupirs de celles du jeune homme. La tension grimpe. Leurs sueurs se mêlent, leurs lèvres ne se quittent que pour mieux revenir s'embêter. Il se redresse un peu pour venir la regarder, admirer son visage tordu par le plaisir, alors que son propre orgasme pointe le bout de son nez. “Pour toujours” achève-t-il finalement en venant enfoncer ses ongles de la main posée contre l’épaule de la jeune femme, dans une vague de plaisir plus forte qu’il n’a jamais ressenti. Il ne ferme pas les yeux, la fixe sans faillir, les muscles tendus sous l’impulsion de l’orgasme qui le prend, de l’amour qui fait frissonner chaque centimètre de sa peau.

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votre tenue ⌁ Les coups de reins qu’il lui donne enveniment merveilleusement la situation. Ne faisant plus qu’un, les amants amoureux vivent ce magnifique moment avec une intensité physique et sentimentale si forte que cette dernière leur coupent le souffle. Max fait en sorte qu’il aille encore plus loin, plus longtemps… avide de voir cette expression satisfaisante et excitée se peindre encore plus joliment sur le visage de Junho. « Tout le temps, partout... » L’entendre de sa voix grave ne fait qu’accroitre le plaisir qu’il lui fait ressentir et qui la consomme toute entière, tendrement perdue dans ses bras. Elle les imagine tellement bien à présent… Le faire et le refaire... Encore et encore... jusqu’à ne plus pouvoir se relever du lit. Le faire sur cette foutue table à manger, lorsqu’ils auront une voiture, lorsqu’ils seront dehors... Même lorsqu’ils se seront parfois fâchés, tiens ! Elle n’allait pas se gêner pour le provoquer. Pour le mettre dans l’embarras lors de moments si peu propices pour leurs envies. Les fêtes, les anniversaires, à son travail... Même en ces lieux, Max se promettait de tendrement le tourmenter. Rien que pour le frustrer d’avantage. Rien que pour le faire exploser une fois qu’ils se retrouveront seuls ou qu’ils seront suffisamment cachés. Junho ne serait pas au bout de ses peines. Il avait donné vie avec une véritable petite perverse en devenir. Le simple fait qu’elle lui souffle ces mots prouvait d’ores-et-déjà le caractère coquin en plein éveil de la jeune femme.

« Tu es à moi… » Sa voix gémit plus fort. La pression monte à nouveau d’un cran. Jusqu’au coup ça va aller ? Elle a l’impression de grimper toujours encore plus haut et qu'il n'y a pas de limites à tout ça. Ivre de désir, Max ne peut qu’adorablement se plaindre lorsque les doigts de son ainé se mettent à taquiner l’un de ses tétons roses et durs à souhait. Collant sa bouche contre la sienne, ses jolis sourcils se froncent lorsqu’il souffle cette fois un « Je suis à toi… » des plus chauds et savoureux. Seigneur, Il la rend dingue… ! Gémissant de plus en plus ardemment contre lui, la petite douceur commence à ressentir une étrange sensation dans l’antre de sa fleur. Quelque chose est en train de s’enclencher. A chacune de ses allées fiévreuses, la virilité de Junho frôle inlassablement un point particulier en elle. Une zone bien plus sensible que les autres. Il vibre en elle, se contracte tandis qu’elle frémit et grogne tout en l’embrassant. Les yeux de la belle ne quittent pas une seconde ceux de son homme, fougueusement. Elle ne peut s’empêcher de l’admirer encore plus, de le trouver plus beau que jamais. C’est avec un simple regard qu’ils se comprennent, comme si les mots n’étaient à présent que secondaires pour communiquer ensemble. Il se soulève alors pour la surplomber de toute sa carrure.

« Pour toujours. » ces dernières paroles - combinées aux intenses et ultimes coups de reins du jeune homme - suffisent pour que, au plus profond d'elle, s’active un magnifique et déroutant mécanisme. Complètement bouleversée par cette soudaine et effroyable vague de plaisir intense, Max ne peut que subir cette merveilleuse chose tout en agrippant fortement les bras musclés de son amour. La belle parvient à soutenir son regard perçant, à le dévorer des yeux avec ses jolies joues rougies d’extases… tandis qu’elle meurt d’amour pour lui. Il lui fait avoir un orgasme en ayant le sien. Ils ressentent exactement la même chose et au même moment. Elle tente de crier son prénom, mais sa voix brisée et usée de désir reste à moitié coincée dans sa gorge serrée. Tout son corps se crispe, subit cette époustouflante lave qui se déferle à chaque endroit de son être, sans la moindre pitié. Torride. Passionnel. Il n’y a pas de mot assez fort pour le décrire. Et dans un élan ultime et désespéré, Max s'empresse d’enlacer la nuque de Junho de ses bras et de le plaquer contre son corps tremblant de spasmes... ses lèvres unies aux siennes.

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votre tenue ⌁ L’orgasme le prend d’un coup, et Junho a à peine le temps de penser qu’il n’a jamais, dans sa vie, ressenti autant de plaisir. Il se force à ne pas fermer les paupières, à soutenir le regard d’une Max qui semble se noyer dans un plaisir tout aussi similaire. A-t-elle un orgasme ? Il se niche au plus profond d’elle pour profiter de l’électricité qui traverse ses membres, de la sensation indescriptible qui part de son bas ventre pour traverser chacune de ses veines. Il la sent se resserrer autour de lui, a l’impression que la vague ne va jamais s’aplatir, qu’il est voué à rester dans un état de béatitude presque religieux dans lequel il mourrait sans aucun regret. Il la sent trembler contre lui, se presse un peu plus contre son corps nu et en sueur, aux formes lui semblant encore plus douces que plus tôt. Il laisse une main tracer la courbe de sa hanche, repliée à cause des jambes qui l’emprisonnent, une autre descendre le long de son buste. Le plaisir redescend, il laisse un soupir lui échapper après avoir retenu sa respiration, et laisse son souffle s’échouer contre les lèvres de sa belle. Son essoufflement vient lui brûler la trachée, son amour vient lui brûler la poitrine, ses muscles commencent à se plaindre d’un effort qu’ils souhaiteraient continuer. Il vient l’embrasser. Sans parler, il prend ses lèvres, les butine, se laisse glisser hors d’elle en même temps pour venir l’embrasser avec plus de passion que jamais. Il lui chuchote à nouveau qu’il l’aime, à croire que les mots qu’il avait tant de mal à penser il y a à peine quelques jours ne peuvent plus s’arrêter de déferler, et vient se reposer dans son cou doucement pour reprendre sa respiration. Il est dans tous ses états. Les sensations lui semblent un moment décuplées, et il vient tracer la peau de Max de sa langue, vient y déposer des baisers, laisse la douceur reprendre part de son être après le désir animal qui est venu l’habiter plus tôt. Il l’aime. Il l’aime à la folie. Il peine à croire que ce qu’il ressent est réel, s’attend à se réveiller d’un instant à un autre dans son ancien lit, seul, et désespéré. Mais non. Tout est vrai. Et s’il le veut, Max sera à lui éternellement. Qu’est-ce qui l’en empêche ? D’être heureux pour toujours. Vraiment heureux.

Junho se laisse glisser à ses côtés et passe ses bras autour de Max pour venir la serrer contre lui. Ce sont des choses qu’il ne connaît pas, cette affection, cette envie de la dorloter, de la protéger pour la vie entière. Alors même que le sexe lui a toujours semblé une tâche d’habitude sans grande signification, il sent le lien qui le rattache à Max étrangement plus fort de ce qu’ils viennent d’accomplir. Il n’ose pas ouvrir les lèvres. Il ne veut pas briser le moment, et peut-être craint-il aussi de l’avoir déçue, d’une certaine manière. Junho finit par venir reposer sa joue contre sa poitrine et ferme les paupières, les bras serrés autour de sa taille. “Je trouve ça dingue” finit-il par murmurer au bout d’un long silence “je me suis toujours moqué des gens amoureux. Je n’ai jamais compris leur bêtise. Et pourtant, je pourrais t’épouser et te faire des bébés à l’instant sans même y réfléchir à deux fois. C’est étrange non ? Si intense. Tout d’un coup.”

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votre tenue ⌁ Comme une mélodie jolie que l’on doit cacher précieusement, son ultime gémissement va s’étouffer contre les lèvres charnues de Junho. Junho qui presse son corps tout contre le sien et qui s’enfouit le plus profondément possible en elle, tendrement. Max ferme les yeux, savoure la dernière vague de cette délicieuse tempête, fronce ses jolis sourcils de bonheur. Magique. C’est le seul mot qui lui vient à l’esprit, tandis que son cœur au bord de l’explosion ressent celui tout aussi furibond du jeune homme qui la surplombe. Tout en subissant les derniers méandres de son orgasme, la petite douceur ose répondre à son beau regard. Émue, fébrile... c’est sans hésitation qu’elle l'embrasse également, y mettant de sa passion tandis que sa bouche se mouve fougueusement contre la sienne. Ses doigts se glissent dans les cheveux noirs de son aimé qu’elle caresse amoureusement... pendant que de belles larmes de joie noient ses grands yeux noisette en entendant les fameux trois mots soufflé à son oreille. Elle aussi, elle l’aime. Et elle le lui chuchote sans mal à son tour, d’une voix fragilisée par l’émotion, plus douce que jamais. Même après le départ de Junho, leurs corps en sueurs ne se lâchent pas et tentent de reprendre désespérément leur respiration. Max accueille son amour à bras ouverts contre elle, embrasse délicatement son front perlé d’effort, glisse le bout de son nez entre deux mèches brunes afin de savourer ce parfum qu’elle adore tant et qui la rassure. Ses prunelles se ferment, papillonnent faiblement... puis le petit bout de femme qu'elle est à présent soupire en sentant sa langue et les lèvres du plus âgé embrasser son cou. Elle l'aime. Dieu ce qu’elle l'aime. Encore plus maintenant… après tout ça. Le réalisant alors, les bras frêles de la belle renforcent aussitôt leur étreinte autour du brun pour encore mieux le chérir. Lui. Son homme. Son trésor.

La douceur finit par dominer leurs gestes. Elle se laisse ensuite entrainer par Junho qui se glisse à ses cotés. Le silence qui règne n’a rien de gênant. Lovée contre lui, Max profite de ce cocon tout chaud qu’ils forment alors, sa main choyant toujours tendrement les cheveux de son petit ami. Un joli sourire se dessine timidement sur son visage en entendant les mots du brun, en même temps qu’un joli rougissement sur ses joues. Intense, oui. Tellement... « … Moi à cet instant, j’ai envie que tu m’enlèves. M’enfuir dans tes bras… partir le plus loin possible d’ici avec toi… ne vivre que de ton amour » Son corps se blottit un peu plus contre le sien et sa jambe se glisse entre les siennes. Elle laisse ses petits pieds jouer et caresser les siens, appréciant le contact. Et puis sans prévenir, Max affirme, l'air de rien « J’adore ce lit, tu sais? » Une esquisse discrète vient étirer ses lèvres qu’elle échoue ensuite contre le crâne de Junho. « Par contre… j’aime vraiment pas Yoona ! » Ne manque-t-elle pas d’ajouter, avec jalousie et malice. Elle rigole un peu en s’amusant à dessiner des délicats mouvements dans son dos avec ses doigts. « ...Oppa ?» Murmure finalement sa belle voix, après un ultime et agréable silence. Elle l’invite à relever son visage vers elle pour la regarder dans les yeux. Leurs regards se plantent alors l’un dans l’autre... et c’est avec la plus belle tendresse du monde que Max l'admire, reconnaissante. «… Merci. » Souffle-t-elle tout bas, avant de fondre sur ses lèvres, délicatement. Merci pour ce moment que je ne regretterai jamais. Merci d’exister. Je t’aime. Je vais t’aimer toute ma vie… Pensa-t-elle très fort, comme s’il pouvait lire dans son esprit. Heureuse et de nouveau envieuse, elle ne résista pas à venir le surplomber pour l’embrasser encore plus fort, avec une tendre ardeur. La nuit allait être longue…

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